5 Mai 2011 vincent desjardins
A chaque fois, je me demande s'il est possible
d'en faire le récit, une narration de tant de plaisir,
ou si l'emportement échappe au langage
parce qu'il est un abandon de tout,
submergé.
nos baisers.
Côte d'Opale, avril 2011
Vincent Desjardins